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Le 14 Octobre 2006, j'ai mis en ligne un commentaire sur la disparition d'un magazine de musique de film, pour me souvenir qu'un jour j'ai eu plaisir à lire ces numéros et en souhaitant qu'un autre jour, prochain, un miracle peut faire que l'équipe se reforme et nous annonce la re-sortie des opus qui manquent tant aujourd'hui... Depuis ce jour, il n'y a toujours rien qui vient à l'horizon musical.

Cinéfonia s’en est allé

Ep 5 : Abonné depuis 1996 à ce magazine, je fus très étonné de ne pas recevoir le dernier numéro (opus). Je me saisis, donc, du téléphone pour prendre connaissance de la raison de ce retard énigmatique et inquiétant – le tour fait sur leur site s’étant avéré vain car inaccessible - c’est alors que je constate que le n° composé n’est plus attribué. Je m’enquis donc de news sur Internet. Aucun site dit « officiel » sur le cinéma ou la musique de film ne fait part d’une quelconque nouvelle les concernant. Et, c’est en me rendant sur un forum US, que je commence à comprendre que Cinéfonia a cessé son activité. On y parle de « dépôt de bilan ». Un autre forum, en français celui-là, traite du sujet. Le magazine, le site et le label (Cinéfonia record) n’existent plus.

 

http://www.traxzone.com/forums/topic.asp?whichpage=2&ARCHIVEVIEW=&TOPIC_ID=12599

 

Qu’attendre de plus. Espérer un retour rapide – comme celui tant souhaité de Génération Séries – ou se dire que l’aventure s’arrête ici, dans ces conditions ? Je ne suis guère optimiste, mais, dans un même temps, j’ai du mal à imaginer qu’une revue d’aussi bonne qualité, servant aussi bien le métier de compositeur de musique pour l’écran puisse disparaître – malgré le soutien de Disney et Sony – sans que personne ne réagisse. Pourtant rien que l’idée de créer un label d’édition pour sortir des B.O. introuvables et de plus, favoriser les sorties françaises (G.Yared, V.Cosma, G.Delerue, P.Adenot) est un choix, certes risqué, mais courageux. Et, selon Didier Lepretre, c’est dû à l’insuccès de ces sorties qu’il décida de cesser l’activité du magazine et consort. Retour sur 10 ans de générosité…

 

Ep 1 : En 1996, donc, je découvre cette revue nommé « Dreams to Dream…S » créé, à la base, à la gloire de James Horner. Ce que je tenais entre les mains s’avérait être le tout premier magazine traitant exclusivement de la musique de film. Le seul inconvénient, à mes yeux, était que certains articles étaient en anglais ou an allemand, mais déjà le plaisir était là.

Ep 2 : Quelques mois plus tard ça devint « dreams magazine », sa parution passe de trimestrielle à mensuelle, et le tout 100% français. Les interviews abondent, les critiques de Cds aiguillent dans les choix d’achat et les analyses sont de plus en plus poussées.

Ep 3 : Changement – évolution – avec l’arrivée de la graphiste, laetitia Tingaud. Les articles sont encore plus sympas à lire – à voir – et la diversité toujours renouvelée des interviews / articles se précisent.

Ep 4 : « Dreams magazine » devient « CinéFonia magazine ». Une petite angoisse se fait sentir. Garderont-ils cette ligne éditorial qui leur est propre. Dès le premier « opus », je suis rassuré. La musique classique et Disney sont plus développés. La variété artistique – nationalité, métier – est à son comble. Chaque interview me procure plus de plaisir encore…Jusqu’à ce jour fatal (cf : Ep 5).

Epilogue : Et maintenant, qui sera là pour interviewer les « Cosma » « Morricone » « Danna » « Davis », qui sera là pour défendre cet art encore trop peu reconnu ? Pour des journalistes aussi impliqués, aussi respectueux des gens qu’ils interrogeaient, je trouve vraiment dommage que l’aventure se termine ainsi… En tous les cas un grand MERCI à toute cette dynamique équipe pour le plaisir créé durant ces 10 dernières années. Bonne chance à vous tous et si l’envie vous prenait de retenter l’aventure, tenez, SVP (voire pitié !!!!) vos ex-abonnés au courant, et, comme vous le disiez si bien à la fin de chacun de vos éditos : « Happy Hornering »….

 

 

Ep 5 : Abonné depuis 1996 à ce magazine, je fus très étonné de ne pas recevoir le dernier numéro (opus). Je me saisis, donc, du téléphone pour prendre connaissance de la raison de ce retard énigmatique et inquiétant – le tour fait sur leur site s’étant avéré vain car inaccessible - c’est alors que je constate que le n° composé n’est plus attribué. Je m’enquis donc de news sur Internet. Aucun site dit « officiel » sur le cinéma ou la musique de film ne fait part d’une quelconque nouvelle les concernant. Et, c’est en me rendant sur un forum US, que je commence à comprendre que Cinéfonia a cessé son activité. On y parle de « dépôt de bilan ». Un autre forum, en français celui-là, traite du sujet. Le magazine, le site et le label (Cinéfonia record) n’existent plus.

 

http://www.traxzone.com/forums/topic.asp?whichpage=2&ARCHIVEVIEW=&TOPIC_ID=12599

 

Qu’attendre de plus. Espérer un retour rapide – comme celui tant souhaité de Génération Séries – ou se dire que l’aventure s’arrête ici, dans ces conditions ? Je ne suis guère optimiste, mais, dans un même temps, j’ai du mal à imaginer qu’une revue d’aussi bonne qualité, servant aussi bien le métier de compositeur de musique pour l’écran puisse disparaître – malgré le soutien de Disney et Sony – sans que personne ne réagisse. Pourtant rien que l’idée de créer un label d’édition pour sortir des B.O. introuvables et de plus, favoriser les sorties françaises (G.Yared, V.Cosma, G.Delerue, P.Adenot) est un choix, certes risqué, mais courageux. Et, selon Didier Lepretre, c’est dû à l’insuccès de ces sorties qu’il décida de cesser l’activité du magazine et consort. Retour sur 10 ans de générosité…

 

Ep 1 : En 1996, donc, je découvre cette revue nommé « Dreams to Dream…S » créé, à la base, à la gloire de James Horner. Ce que je tenais entre les mains s’avérait être le tout premier magazine traitant exclusivement de la musique de film. Le seul inconvénient, à mes yeux, était que certains articles étaient en anglais ou an allemand, mais déjà le plaisir était là.

Ep 2 : Quelques mois plus tard ça devint « dreams magazine », sa parution passe de trimestrielle à mensuelle, et le tout 100% français. Les interviews abondent, les critiques de Cds aiguillent dans les choix d’achat et les analyses sont de plus en plus poussées.

Ep 3 : Changement – évolution – avec l’arrivée de la graphiste, laetitia Tingaud. Les articles sont encore plus sympas à lire – à voir – et la diversité toujours renouvelée des interviews / articles se précisent.

Ep 4 : « Dreams magazine » devient « CinéFonia magazine ». Une petite angoisse se fait sentir. Garderont-ils cette ligne éditorial qui leur est propre. Dès le premier « opus », je suis rassuré. La musique classique et Disney sont plus développés. La variété artistique – nationalité, métier – est à son comble. Chaque interview me procure plus de plaisir encore…Jusqu’à ce jour fatal (cf : Ep 5).

Epilogue : Et maintenant, qui sera là pour interviewer les « Cosma » « Morricone » « Danna » « Davis », qui sera là pour défendre cet art encore trop peu reconnu ? Pour des journalistes aussi impliqués, aussi respectueux des gens qu’ils interrogeaient, je trouve vraiment dommage que l’aventure se termine ainsi… En tous les cas un grand MERCI à toute cette dynamique équipe pour le plaisir créé durant ces 10 dernières années. Bonne chance à vous tous et si l’envie vous prenait de retenter l’aventure, tenez, SVP (voire pitié !!!!) vos ex-abonnés au courant, et, comme vous le disiez si bien à la fin de chacun de vos éditos : « Happy Hornering »….